Bastien c’est le vernis de l’expérience qui craque et laisse transparaître l’enfant qu’il est encore. Son humour fait toujours mouche que ce soit par ses punchlines mordantes ou les situations loufoques qu’il nous fait vivre. Mais il sait aussi se poser en réserve et capter l’essence du récit que les comédiens proposent pour faire avancer l’histoire, tout en mettant en lumière ses partenaires. Un vrai moment de bonheur pour ses coéquipiers mais aussi, et surtout, pour le public.

Cette bivalence porte ses fruits sur scène car les relations simples, sincères mais fortes qu’il peut créer avec les comédiens continuent de peupler les souvenirs de Marilou et Ben. Bastien n’a pas peur des monologues, 4 minutes de prêtre en plein sermon dans une cathédrale au temps des Mousquetaires ? Aucun problème ! Jouer un dialogue entre deux personnages incarnés par lui ? Sans soucis ! Il est aussi habile dans l’art du jeu de mot et lors d’une telle catégorie, Emma se souvient avoir été submergée par les rafales qu’il lançait au public.
Et sa puérilité ? Elle n’est jamais très loin ! Ses décrochages sont légions et Patac et Bellot se rappellent encore d’une scène où Bastien, titi parisien, faisait découvrir la capitale à son père, grand guerrier des steppes africaines. Pour ses décrochages, Ben nous livre sa petite astuce pour les repérer : sa “tête déconfite assez extraordinaire”.
Cette bivalence porte ses fruits sur scène car les relations simples, sincères mais fortes qu’il peut créer avec les comédiens continuent de peupler les souvenirs de Marilou et Ben. Bastien n’a pas peur des monologues, 4 minutes de prêtre en plein sermon dans une cathédrale au temps des Mousquetaires ? Aucun problème ! Jouer un dialogue entre deux personnages incarnés par lui ? Sans soucis ! Il est aussi habile dans l’art du jeu de mot et lors d’une telle catégorie, Emma se souvient avoir été submergée par les rafales qu’il lançait au public. Et sa puérilité ? Elle n’est jamais très loin ! Ses décrochages sont légions et Patac et Bellot se rappellent encore d’une scène où Bastien, titi parisien, faisait découvrir la capitale à son père, grand guerrier des steppes africaines. Pour ses décrochages, Ben nous livre sa petite astuce pour les repérer : sa “tête déconfite assez extraordinaire”.